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Helmut Newton, rétrospective du photographe au Grand Palais de Paris
Sulfureux, parfois choquant, l’œuvre de Newton a cherché à restituer la beauté, l’érotisme, l’humour, parfois la violence que sa sensibilité lui permettait de relever dans les rapports sociaux des mondes qu’il fréquentait : la mode, le luxe, l’argent, le pouvoir.
L’exposition réunit plus de deux cents images, quasi exclusivement des tirages originaux ou « vintage » réalisés sous le contrôle d’Helmut Newton : polaroïds, tirages de travail de divers formats, œuvres monumentales. Elle sera enrichie d’un extrait du film réalisé par June Newton, épouse du photographe pendant soixante ans et elle-même photographe :Helmut by June.
Le propos s’inscrit dans un parcours rétrospectif et thématique. Présentant les grands thèmes newtoniens : mode, nus, portraits, sexe, humour, l’exposition entend montrer comment s’est constitué, bien au-delà de la photographie de mode, l’œuvre d’un grand artiste. Un œuvre qu’il n’a eu de cesse de libérer de toute contrainte imposée, alors qu’il travaillait le plus souvent dans un cadre de « photographie appliquée » à la mode et aux portraits. Un œuvre éminemment classique en ce sens qu’il s’inscrit dans une perspective artistique très large. Un œuvre qui fait l’expérience de la liberté, dans ses thèmes comme dans ses formats. Un œuvre qui donne à voir une vision nouvelle et unique du corps féminin contemporain.
On a dit d’Yves Saint Laurent qu’il a par ses créations donné le pouvoir à la Femme. On pourrait dire la même chose d’Helmut Newton, qui accompagna longtemps et intimement – ce n’est pas un hasard – la démarche du premier. Nues ou en smoking, les femmes de Newton sont puissantes, séductrices, dominantes, jamais glaciales mais toujours impressionnantes, voire intimidantes. Ce sont des femmes qui, fortes de leur révolution sexuelle, assument la pleine liberté de leur corps, sans heure ni cadre, ouverte à tous les fantasmes. Ce sont des femmes riches, qui ont conquis le monde et son argent, et vivent dans un raffinement extrême, de leurs robes à leur lit. Luxe, classe et volupté : tel pourrait être l’adage de la Femme newtonienne. Quand Newton publie un livre intitulé Un monde sans hommes, il formule l’expression visionnaire d’une société où les femmes ont conquis assez de pouvoir pour parvenir, le cas échéant, à se passer des hommes.
L’exposition ne s’attache pas à l’unique représentation de la Femme par Newton, mais restitue les divers champs, parfois plus secrets, de son travail. Conçue par June Newton et ponctuée de citations du photographe, elle est aussi, à double titre, « Newton par Newton ».
L’exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais, avec l’aimable participation de Madame June Newton, Monte-Carlo, et de la Fondation Helmut Newton, Berlin.
Commissaire : June Newton, avec la collaboration de Jérôme Neutres, conseiller du Président de la Réunion des musées nationaux – Grand Palais
Scénographie : Paul Kahlfeldt, Kahlfeldt Architekten, Berlin
L’exposition bénéficie du soutien d’HSBC France. Elle a été réalisée également avec le concours du cabinet Linklaters.
Depuis la mort d’Helmut Newton (1920 -2004), aucune rétrospective du photographe n’a eu lieu en France, pays où il a cependant créé une partie majeure de son œuvre, notamment en travaillant pour l’édition française de Vogue.
Sulfureux, parfois choquant, l’œuvre de Newton a cherché à restituer la beauté, l’érotisme, l’humour, parfois la violence que sa sensibilité lui permettait de relever dans les rapports sociaux des mondes qu’il fréquentait : la mode, le luxe, l’argent, le pouvoir.
L’exposition réunit plus de deux cents images, quasi exclusivement des tirages originaux ou « vintage » réalisés sous le contrôle d’Helmut Newton : polaroïds, tirages de travail de divers formats, œuvres monumentales. Elle sera enrichie d’un extrait du film réalisé par June Newton, épouse du photographe pendant soixante ans et elle-même photographe :Helmut by June.
Le propos s’inscrit dans un parcours rétrospectif et thématique. Présentant les grands thèmes newtoniens : mode, nus, portraits, sexe, humour, l’exposition entend montrer comment s’est constitué, bien au-delà de la photographie de mode, l’œuvre d’un grand artiste. Un œuvre qu’il n’a eu de cesse de libérer de toute contrainte imposée, alors qu’il travaillait le plus souvent dans un cadre de « photographie appliquée » à la mode et aux portraits. Un œuvre éminemment classique en ce sens qu’il s’inscrit dans une perspective artistique très large. Un œuvre qui fait l’expérience de la liberté, dans ses thèmes comme dans ses formats. Un œuvre qui donne à voir une vision nouvelle et unique du corps féminin contemporain.
On a dit d’Yves Saint Laurent qu’il a par ses créations donné le pouvoir à la Femme. On pourrait dire la même chose d’Helmut Newton, qui accompagna longtemps et intimement – ce n’est pas un hasard – la démarche du premier. Nues ou en smoking, les femmes de Newton sont puissantes, séductrices, dominantes, jamais glaciales mais toujours impressionnantes, voire intimidantes. Ce sont des femmes qui, fortes de leur révolution sexuelle, assument la pleine liberté de leur corps, sans heure ni cadre, ouverte à tous les fantasmes. Ce sont des femmes riches, qui ont conquis le monde et son argent, et vivent dans un raffinement extrême, de leurs robes à leur lit. Luxe, classe et volupté : tel pourrait être l’adage de la Femme newtonienne. Quand Newton publie un livre intitulé Un monde sans hommes, il formule l’expression visionnaire d’une société où les femmes ont conquis assez de pouvoir pour parvenir, le cas échéant, à se passer des hommes.
L’exposition ne s’attache pas à l’unique représentation de la Femme par Newton, mais restitue les divers champs, parfois plus secrets, de son travail. Conçue par June Newton et ponctuée de citations du photographe, elle est aussi, à double titre, « Newton par Newton ».
L’exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais, avec l’aimable participation de Madame June Newton, Monte-Carlo, et de la Fondation Helmut Newton, Berlin.
Commissaire : June Newton, avec la collaboration de Jérôme Neutres, conseiller du Président de la Réunion des musées nationaux – Grand Palais
Scénographie : Paul Kahlfeldt, Kahlfeldt Architekten, Berlin
L’exposition bénéficie du soutien d’HSBC France. Elle a été réalisée également avec le concours du cabinet Linklaters.
Dopo la morte di Helmut Newton (1920 – 2004) non era stata ancora presentata una retrospettiva in Francia, dove il fotografo realizzò la maggio parte delle sue opere, innanzitutto lavorando per l’edizione francese di Vogue.
Sulfurea, a volte scioccante, l’opera di Newton vule restituire bellezza, erotismo, humour e a volte la violenza che la sua sensibilità gli permetteva di rivelare partecipando al mondo sociale che frequentava: la moda, il lusso, il denaro e il potere.
Un percorso unico e originale, alla scoperta delle stravaganze del fotografo berlinese considerato come l’inventore del “porno chic”. In particolare la mostra si focalizza sull’immagine inedita della donna concepita dall’artista: una donna forte, indipendente e senza concessioni, dal corpo dominatore.
Mostra al Grand Palais, prolungata fino al 30 luglio
Programma consultabile sul sito: www.grandpalais.fr/grandformat/helmut-newton/
La mostra riunisce più di duecento immagini, per la quasi totalità delle stampe originali o “vintage” realizzate sotto la supervisione di Helmut Newton. Sono esposte polaroids, stampe di diversi formati, grandi formati e opere monumentali. A corredo della mostra, un estratto del film “Helmut by June” realizzato da June Newton, moglie di Helmut Newton per sessant’anni e lei stessa fotografo.
Helmut Newton au Grand Palais
Parigi
Grand Palais
Avenue Winston-Churchill – 8° arr. Paris
Orari
Dal 24 marzo al 17 giugno 2012
In ragione del suo successo la mostra è prolungata fino al 30 luglio
Tariffe
Ingresso:11 euros
Ridotto: 8 euro
mostra helmut Newton-Grand Palais: www.grandpalais.fr/grandformat/helmut-newton/
Zosimo di Panopoli, electrum e lo specchio di Alessandro il Macedone
La storia antica tramanda che Alessandro il Macedone fu inventore dell’electrum in questo modo: «La folgore si abbatteva senza posa sulla terra e devastava ogni anno i frutti della terra e la stirpe degli umani, a tal punto che soltanto pochi sopravvivevano. «Quando ne venne a conoscenza, Alessandro, preso dal dolore, inventò questa lega, composta d’oro e d’argento, che fu detta electrum, cioè “intreccio”, proprio perché è una mescolanza di questi due metalli lucenti. «Se qualcuno in quei tempi si fosse trovato esposto ai colpi della folgore, avrebbe preparato con i metalli lucenti un electrum lucente e in virtù di esso non sarebbe stato colpito dalla calamità, come non ne fu colpito Alessandro. «Fu allora che Alessandro fece coniare delle specie di monete istoriate, composte d’oro e d’argento, e le fece diffondere nelle terre sulle quali si abbatteva la folgore. Le fece lavorare con l’erpice e le abbandonò a se stesse. La folgore non vi si abbattè più.
L’ELECTRUM E LO SPECCHIO
«Alessandro teneva nella sua reggia uno specchio che, a suo dire, proteggeva da tutti i mali. E non mentiva, perché non toccherà mai a nessun altro di trovarsi di fronte a sventure e contese pari a quelle che dovette affrontare lui. «I re che gli succedettero, a lui inferiori, lo credettero, ed entrarono in possesso di questo specchio, che essi custodivano nelle loro case come un talismano. Quando un uomo vi si guarda, questo specchio lo induce a investigare se stesso e a purificarsi dalla testa fino alla punta delle unghie. «Lo specchio fu poi custodito dai sacerdoti nel tempio detto “delle Sette Porte”. [ … ] «Lo specchio non era predisposto allo scopo di riflettervisi materialmente: appena lo si lasciava, si perdeva istantaneamente memoria della propria immagine. Che cos’era realmente questo specchio? Ascolta. «Lo specchio rappresenta lo Spirito- divino. Quando l’anima vi si riflette vede le proprie impurità e le allontana. Cancella le sue macchie e riposa irreprensibile. Quando si è purificata, imita e prende come modello il Sacro Spirito. Diventa essa stessa Spirito. Entra in possesso della quiete e incessantemente si riconduce allo stato superiore in cui si conosce il dio e dal dio si è conosciuti. Allora, divenuta senza macchia, si libera dagli impedimenti suoi propri e dai legami che ha in comune con il corpo e si innalza verso Colui che può tutto. Che cosa esprime infatti la parola dei filosofi? “Conosci te stesso.” Allude in tal modo allo specchio spirituale e noetico. «Che cos’è dunque questo specchio se non lo Spirito divino e sorgivo? A meno che non si dica che è il ‘Principio dei Princlpi, il Figlio del dio, il Lógos, Colui i cui pensieri e sentimenti promanano dal Sacro Spirito. «Tale, o donna, l’interpretazione dello specchio.
«Quando un uomo vi si guarda e si coglie in esso, distoglie lo sguardo da tutto ciò che porta nome di dio o di demone. Congiungendosi con il Sacro Spirito, diviene uomo compiuto. Vede il dio che è dentro di sé attraverso il Sacro Spirito. «Questo specchio è posto al di sopra delle Sette Porte, nel lato occidentale, in modo che colui che vi si rispecchia vede l’Oriente, là dove brilla la luce noetica che è al di sopra del velo. Esso è collocato anche nel lato che guarda a sud, al di sopra di questo mondo visibile, al di sopra delle Dodici Case e delle Pleiadi, che sono il mondo dei Tredici. Al di sopra di essi esiste quest’Occhio dei sensi invisibili, quest’Occhio dello Spirito, che dimora là e in tutti i luoghi. Là si contempla questo Spirito perfetto che ha ogni cosa in suo potere nel momento presente e fino alla morte. «Abbiamo esposto tutto ciò che precede perché qui ci ha condotti la trattazione dello specchio di electrum, lo Specchio dello Spirito.»
Daniel Buren
Daniel Buren (Boulogne-Billancourt, 25 marzo 1938) è un pittore e scultore francese.
Biografia
Formatosi all’Ecole des Métiers d’Art ha basato tutta la sua produzione giovanile su una stoffa da tende a righe di 8,7 cm alternativamente bianche e colorate.
Più recentemente, negli anni ’80 ha abbandonato la pittura in favore delle installazioni architettoniche permanenti su spazi pubblici, tra cui Les Deux Plateaux al Palais-Royal di Parigi. Quasi tutte le sue opere non esistono fuori dal tempo e dallo spazio per i quali sono state concepite: la maggior parte di esse sono dunque state distrutte dopo la loro presentazione.
Nel 1986 ha partecipato alla Biennale di Venezia aggiudicandosi il Leone d’Oro per il miglior padiglione.
Attualmente è impegnato in Italia, a Colle Val d’Elsa, dove nell’ambito della riqualificazione del centro della città bassa (progetto coordinato dall’Atelier di Jean Nouvel), si occupa della ripavimentazione della centrale Piazza Arnolfo di Cambio.
Nel 2008 ha partecipato al progetto Luci d’artista a Torino con l’installazione “Tappeto Volante” in Piazza Palazzo di Città.
Il 4 febbraio 2010 la Commissione del Bando di Concorso per la riqualificazione architettonica e artistica di Piazza Verdi alla Spezia (finanziata dai Fondi POR-FESR e riservata, su proposta del Premio P.A.A.L.M.A. Premio Artista + Architetto La Marrana Arteambientale, http://www.lamarrana.it solo a coppie di artista + architetto)ha aggiudicato la riqualificazione della Piazza all’artista Daniel Buren. Fonte: Wikipedia
Valendosi di uno “strumento visivo” invariabile — l’alternanza di strisce verticali bianche/colorate di 8,7 cm — Daniel Buren indaga da oltre 35 anni i rapporti fra l’opera d’arte, il luogo in cui prende corpo e lo spettatore. Al centro della sua proposizione vi sono quindi tematiche relative alla visibilità dell’opera e alla definizione del suo statuto, la volontà di rovesciare i modelli dati mediante la moltiplicazione dei punti di vista, il capovolgimento delle prospettive attraverso interferenze visive, nonché il tentativo, di volta in volta rivisitato e aggiornato, di interagire (in osmosi o in modo conflittuale) con lo spazio di intervento.
Nei suoi lavori realizzati in situ, pittura, tessuto, legno, metallo, specchio, vetro, carta sono abbinati a formare opere a parete oppure complesse strutture ambientali (tra cui le note Cabanes Éclatées), intese a proporre una lettura critica dell’oggetto d’arte, con riferimento alla sua storia disciplinare e culturale (scultura, pittura, monocromia, opera d’arte, …), alla codificazione del contesto (museo, spazio pubblico, …), al rapporto con il fruitore.
Con espedienti sempre diversi, Buren interviene sui codici della convenzionale lettura visiva, rendendo intercambiabili e plurali i rapporti fra interno/esterno, supporto/opera, diritto/rovescio, decoro/oggetto, trasparente/opaco e così via.
Insinuando contraddizioni nello spazio apparentemente indifferenziato, introducendo elementi di carattere scenografico, stabilendo rapporti diretti fra l’opera, lo spazio e il fruitore, Buren trasforma l’ambiente senza pertanto alterarlo. Sovverte la logica unitaria, per ribaltare gli elementi in gioco su un piano multiplo, ambiguo, aperto alle più diverse interpretazioni. Opera e spazio si compenetrano, sfidandosi a vicenda in un dialogo che relativizza l’autonomia e le tautologie.
A più riprese Buren ha sottolineato il funzionamento essenziale del suo “strumento”: il fatto di essere privo di significato in sé, per acquistare senso soltanto nella relazione con il supporto su cui è applicato. Da sempre le strisce di Buren deviano lo sguardo via da se stesse, invitando a guardare verso qualcos’altro: lo spazio che ricoprono, l’ambiente che qualificano, la prospettiva che offrono — in altre parole, invitando lo spettatore a situarsi in rapporto al luogo in cui si trova.
Buren ha dato prova in innumerevoli esempi della sua straordinaria capacità di concepire ambienti effimeri, situazioni abitabili, percorsi visuali, labirinti cromatici: dalla sua prima esposizione personale nel 1968, alle note realizzazioni in spazi pubblici (Palais Royal a Parigi, Place des Terreaux a Lione), alle spettacolari mostre degli scorsi decenni nei più rinomati istituti e centri d’arte del mondo intero.
Cavallo Berbero, animale mitico o mito equino (parte 2)
L’ancestro del purosangue inglese
È in Inghilterra, nel XVI° secolo, che il cavallo berbero conobbe il suo apogeo. Dopo l’Antichità, alcuni riproduttori dell’Africa del Nord, in diverse riprese, contribuirono a migliorare l’allevamento britannico. Verso il XII° secolo, le corse dei cavalli divennero uno sport estremamente popolare in Inghilterra che venne regolamentato nel 1603; da allora, i cavalli del Maghreb e del Machreq (attuale penisola arabica) furono ricercati per produrre dei cavalli da corsa. Diverse missioni furono inviate in Arabia, in Turchia e nel Maghreb per cercare di costituire due nuclei: i Royal Mares e i Berberi Mares. A Sidney, un autore inglese, dichiarò che il berbero aveva creato il purosangue inglese così come l’arabo. Il colonnello Eblé, del Cadre Noir, trovò dei berberi e degli arabi nel pedigree di Eclipse, leggendario purosangue inglese. Gli inglesi seguirono l’avviso del duca di Newcastlle che scrisse nel 1667: “inoltre vi consiglio il berbero che, a mio avviso, è il migliore per fare dei cavalli da corsa e da velocità”. Tutte queste descrizioni e citazioni del cavallo berbero, disegnavano in maniera unanime lo stesso modello: piuttosto piccolo, fine, rapido, resistente, membra secche, temperamento piuttosto freddo: un corridore di mezzo fondo. Poi arrivarono i secoli XVIII° e XIX° e con loro la selezione metodica delle specie domestiche in Europa e la stagnazione e/o il declino della rive sud del Mediterraneo e dei suoi cavalli; non si parlerà più del cavallo berbero se non per la sua rusticità. La guerra di Crimea e poi la Prima Guerra Mondiale (battaglia di Uskub) riporteranno brevemente agli onori i berberi nel microcosmo dei cavalieri militari. Nel XX° secolo, la modernità rivolterà le società maghrebine e il ruolo del cavallo ne risentirà: da cavalcature utilitarie per la guerra, la razzia, il viaggio, diventeranno nella migliore delle ipotesi una cavalcatura di prestigio, al peggio un cavallo da carretto.
Paolo Pautasso
Fonte: My Amazighen
Monumenta 2012, opera inedita di Daniel Buren al Grand Palais di Parigi
Ogni anno a primavera il Grand Palais invita a Parigi un artista di fama interazionale ad “arredare” la sua nave, la “Nef” (13 500 m² per 35 m di altezza) con un’opera inedita concepita espressamente per questo spazio.
Le prime quattro edizioni di Monumenta hanno suscitato grande entusiasmo e attirato un’enormità di visitatori. Dopo Anselm Kiefer, Richard Serra Christian Boltanski e Anish Kapoor, questa è la volta di Daniel Buren, artista tra i più interessanti di questi ultimi anni.
L’artista francese proporrà una installazione effimera ancora secreta e che sarà svelata solo il giorno dell’inaugurazione della mostra.
Secondo Daniel Buren, “il contesto in cui si inserisce la pittura è sempre più importante della pittura stessa”.
In effetti, l’artista prende ispirazione dal luogo che accoglie le sue opere e, tranne casi eccezionali, conclude e dismette l’opera alla fine della manifestazione.
Il suo lavoro, lui stesso lo definisce in situ.
Questa logica corrisponde pienamente alla logica del progetto Monumenta.
Come gli artisti che lo hanno preceduto Daniel Buren raccoglie la sfida del grande spazio del Nef del Grand Palais.
Come richiesto dall’artista l’accesso all’opera sarà effettuato sul lato della porta sugli Champs-Élysées e non per l’entrata abituale, al fine di non svelare dall’ingresso tutto il mistero dell’opera.
Dal 10/05/2012 al 21/06/2012
Daniel Buren
Monumenta
al Grand Palais
Nef du Grand Palais – Porta Nord
Avenue du Général Eisenhower,
8° arr. Parigi
Metro
Champs-Elysées-Clemenceau, Franklin Roosevelt (Linee 1, 9, 13)
Bus : linee 28, 32, 42, 72, 73, 80, 83, 93
Biglietti
Intero 5 euro; ridotto 2,50 euro
Il biglietto comprende l’accesso alla programmazione culturale del giorno
Orario
Tutti i giorni trane il martedì
alle 10.00 alle 19.00 il lunedì e il mercoledì
Dalle 10.00 alle 00.00 dal giovedì alla domenica
Chiusura casse 45 minuti prima della chiusura della mostra
Informazioni
public@monumenta.com
monumenta:www.monumenta.com
www.grandpalais.fr – Altra-Paris
Eliphas Lévi
Eliphas Lévi, pseudonimo di Alphonse Louis Constant (Parigi, 8 febbraio 1810 – Parigi, 31 maggio 1875), fu il più famoso studioso di esoterismo dell’Ottocento.
Biografia
Per qualche tempo si dedicò agli studi ecclesiastici nel seminario di Saint Sulpice, a Parigi, ma nel 1836 abbandonò il seminario, attratto dagli ideali del socialismo utopista. Al tempo stesso intrattenne rapporti con adepti della Massoneria francese e con esponenti dei più diversi rami dell’esoterismo. Le personalità che contribuirono maggiormente alle formazione del suo pensiero furono il napoletano Don Antonio Marino, abate di S.Giovanni a Carbonara iniziatore e maestro di Eliphas Lévi, Alphonse Esquiros, studioso delle teorie sul magnetismo animale; l’abate José Custodio de Faria, un missionario dedito allo studio dei riti magico-religiosi orientali; lo studioso di numerologia e alchimia Louis Lucas; e soprattutto Höene Wronski, che lo iniziò ai misteri della cabbala e nel 1853 gli impose il nome magico di Eliphas Levi Zahed, traduzione in ebraico di Alphonse Louis Constant.
Nel 1854 Levi fece un viaggio in Inghilterra, dove entrò in amicizia con alcuni esoteristi tra i quali, pare, lo scrittore Edward Bulwer-Lytton (1803-1873), che in seguito diventò membro onorario della Societas Rosacrociana in Anglia. Dopo il ritorno in Francia, Levi pubblicò il suo studio più importante,Dogme et Rituel de la Haute Magie (Parigi 1855-56), un’opera dedicata all’analisi delle più diverse branche dell’esoterismo antico e moderno, che egli definì “scienze occulte”. Nel corso degli anni con il suo Maestro ed Iniziatore Don Antonio Marino, mantenne rapporti epistolari ed occultistici creando un Cenacolo Napolitano, che raccoglieva esponenti del Martinismo, della Massoneria Egizia e del pensiero esoterico delle Due Sicilie.
Inoltre, Levi stabilì per la prima volta un rapporto preciso fra le 22 lettere dell’alfabeto ebraico e i 22 Trionfi dei Tarocchi, da lui definiti “Arcani maggiori”, indicando in queste figure la chiave per la comprensione di tutti gli antichi dogmi religiosi. Dopo quest’opera capitale, Levi pubblicò numerosi altri volumi dedicati alle tradizioni magiche e diventò il punto di riferimento principale per gli studiosi di esoterismo, non soltanto in Francia.
Fonte: Wikipedia
“Contributi alla psicologia della vita amorosa”, 3ª rassegna di cinema e psicoanalisi
Contributi alla psicologia della vita amorosa – uno scritto di Sigmund Freud del 1917 – presta il titolo alla 3ª Rassegna di Cinema e Psicoanalisi. Scelta narcisistica e scelta oggettuale, alternanza e contiguità, continuità e improvvise cesure si declinano all′interno di questa rassegna: un percorso che si snoda tra amore fraterno e filiale, tra amore di coppia etero e omosessuale, dalla passione cieca alla separazione, dalla delicatezza adolescenziale che accompagna la nascita del sentimento amoroso alla perversione amorosa nella sua accezione classica. A partire dai sei film presentati, la complessità della relazione amorosa viene affrontata coinvolgendo pubblico, autori, critici e psicoanalisti della Società Psicoanalitica Italiana, sul tema che Freud definisce: “le condizioni amorose secondo le quali gli uomini attuano la loro scelta oggettuale, e il modo con cui conciliano le esigenze della loro immaginazione con la realtà”.
SABATO 30 GIUGNO
ORE 15.00
L´amore perverso
Portiere di notte di Liliana Cavani (1974), 114′
partecipa Liliana Cavani, commentano Pietro Rizzi e Enrico Magrelli
ORE 18.00
L´amore fraterno
Anni di Piombo di Margarethe von Trotta (1981), 106′
partecipa Margarethe von Trotta, commenta Mario Marinetti
ORE 20.30
L´amore passionale e l´amore materno
Quando la notte di Cristina Comencini (2011), 114′
partecipa Cristina Comencini, commenta Gabriella Giustino
DOMENICA 1 LUGLIO
ORE 15.00
L´amore filiale
L′aria salata di Alessandro Angelini (2006), 85′
partecipa Alessandro Angelini, commenta Stefania Nicasi
ORE 18.00
L´amore omosessuale
Il bagno turco di Ferzan Ozpetek (1997), 94′
commentano Loredana Micati e Italo Moscati
ORE 20.30
L´amore adolescenziale
Dillo con parole mie di Daniele Luchetti (2003), 108′
partecipa Daniele Luchetti, commenta Fabrizio Rocchetto
Paolo Cozzolino
Napoletano di nascita i suoi studi si svolgono tra Napoli e Roma sia per il basso el. che per il contrabbasso con vari insegnanti (R. Zurzolo, E. Pietropaoli, B. Tommaso, G. Gullotto, G. Pani, A. Pighi). Ha frequentato seminari con Gary Burton, John Patitucci, Barry Harris.Consegue il Diploma Accademico di primo livello in Jazz con 110/110 e Lode presso il Conservatorio di Frosinone L. Refice. Ha collaborando con numerosi artisti e gruppi di generi e contesti musicali diversi, sia live che televisivi, che discografici: Gianni Nazzaro, Nicola di Bari, Enzo Gragnaniello, “Cicci Santucci Quintet”, “Big Band di Testaccio”, Alfredo Santoloci group, “Translater” Six for Bud, un progetto tutto dedicato a Bud Power, la ‘Ials Big Band’ diretta da Gianni Oddi, “Catarifranjazz Trio/ Quintet”, “Mr PC’ quintet”, Orchestra Gianni Davoli, Orchestra M° Pregadio, Gianluigi Di Franco, Orchestra Gerardo Di Lella, ‘Giorgia’ Todrani, “Fool’s Night Band”, Karen Jones, Roberto Ciotti, Maurizio Ponziani, Edoardo De Angelis, Giovanni Imparato, “Raiz”, “Diapason”, “Latin Connection”, Cubason, Habana City, Fuego Latino, Son Shama’s, “Orquesta Chirimia”, ‘El Poncho’, Coimbra, Iramar Aramal, ‘Tenda dos milagres’, Josè (Zè) Augusto Alves, Lea Machado, ‘Jangada’, Chico Miceli, Marina De Sanctis, Jim Porto, ‘Tinto Peñaflor’, Alvaro Hugo Atehortua Martinez, ‘Cadavento’, ecc. Per l’ “Orquesta Chirimia” e per “El Poncho” è stato oltre che bassista, anche direttore musicale, arrangiatore e autore.Attalmente collabora con varie situazioni musicali tra cui: come direttore del gruppo ‘Sueños Puros’ è contrabbassista e arrangiatore nelle collaborazioni del gruppo sia per lo spettacolo ‘Canto Neruda’ con la cantante americana Tosi (Leslie) Poleri che in quello del cantante equadoriano Carlos Paz, già cantante dell’Orchestra di Piazza Vittorio;come bassista collabora con Rossana Casale e con il violinista Olen Cesari;è parte integrante del Modern Times Sextet; del gruppo pop/rock ‘Pastiche’ ( http://www.pastiche.it ) e del gruppo ‘Aqua Potable’ del musicista cubano Milan ‘Shama’ Gardin. Insegna basso el., contrabbasso e musica d’insieme jazz/rock-pop/latina presso le scuole di musica: Artipelago di Castelnuovo di Porto; Playmusicart di Frascati; DRM a Roma.
“Zosimo di Panopoli – Visioni e risvegli” di Angelo Tonelli, BUR Rizzoli
Visioni e risvegli
Un universo di immagini affascinanti e suggestive, che rivelano profonde tracce di esperienze autenticamente vissute.
Carl Gustav Jung
Personaggi misteriosi, mostri crudeli, sacrifici rituali e “riti terribili” popolano questo testo complesso e affascinante che con la violenza delle sue visioni ha sedotto lo stesso Jung, a cui si deve il merito di averlo sottratto a un oblio millenario.
Scritto agli inizi del IV secolo, Visioni e risvegli raccoglie quattro brevi trattati di alchimia, il più famoso dei quali, Sulla virtù, descrive con toni onirici e fantasiosi i diversi gradi di un rito di iniziazione.
Dell’antica storia di questi testi, ricchi di aneliti mistici ed echi religiosi, parla nell’introduzione Angelo Tonelli, che analizza anche i legami tra l’alchimia greca e la psicologia dell’inconscio di Jung.
Un ampio apparato di note e le introduzioni alle diverse sezioni illuminano i passi più difficili e ne spiegano i reciproci rapporti.
ANGELO TONELLI, poeta, filologo e scrittore, ha curato per la BUR l’edizione degli Oracoli caldaici. Ha tradotto, tra gli altri, Eraclito, Empedocle e tutte le tragedie di Eschilo e di Sofocle.
Zosimo di Panopoli
Su Zosimo le notizie sono scarse: alto funzionario dell’impero romano d’Oriente, visse tra il V e il VI secolo ma ignoti restano luogo e data di nascita e morte.
Autore: ZOSIMO DI PANOPOLI
Titolo: VISIONI E RISVEGLI
Editore: RIZZOLI
Collana: BUR CLASSICI GRECI E LATINI
Pagine: 224
Prezzo: 9,00 EURO
Anno prima edizione: 2004
ISBN: 17000390
Fonte: BUR Rizzoli
Kino Village Estate 2012, rassegna cinematografica al Parco San Sebastiano di Roma
Dal 15 giugno al 15 agosto il Kino lo trovate a Parco San Sebastiano, vicino alle terme di Caracalla, all’interno della rassegna Roma Vintage Village Due mesi di anteprime, incontri, esordi italiani e film stranieri indebiti o poco visti. E poi il RistoKino ristorante e il bar ogni sera fino alle 2 del mattino…
La programmazione – anche su www.ilkino.it – sarà strutturata seguendo la stessa ispirazione del Kino invernale: si apre quindi con KinoEsordi: uno sguardo sulle opere prime del nuovo cinema italiano, aperto dal regista Roan Johanson che verrà a presentare con Claudio Santamaria il suo I Primi della lista (15 giugno). Quindi il pluripremiato Io sono Li di Andrea Segre (26 e 30 giugno), e Napoli24 (21 giugno), film collettivo composto da 24 corti che raccontano la città di Napoli attraverso lo sguardo di 24 registi, tra cui Paolo Sorrentino.
Il cinema internazionale alternerà anteprime e film distribuiti poco, che il Kino propone di riscoprire: The Future di Miranda July (per cui il Kino ha la distribuzione esclusiva per l’Italia, il 16, 17, 27, 29 giugno), lo straordinario 13 Tzameti di Gela Babluani, vincitore nel 2006 del Gran Premio della Giuria al Sundance (22 e 24 Giugno), il film-documentario di Banksy Exit through the gift shop (18 e 28 giugno), Tomboy (C. Sciamma. 23 giugno), About Elly (A. Farhadi. 24 e il 30 giugno), primo film del regista di “Una separazione”, vincitore nel 2009 dell’Orso d’Argento a Berlino.
Completano il quadro il mockumentary Il Mundial Dimenticato di Lorenzo Garzella e Filippo Macelloni: cosa sapete di un campionato del mondo di calcio giocato in Patagonia nel 1942? Niente? Allora venite a vederlo il 17 e il 19 giugno…E, proiettato in contemporanea in tutta Italia grazie ad Amnesty International e OSF, per la giornata mondiale del rifugiato, il 20 giugno Mare Chiuso, di Andrea Segre e Stefano Liberti, che racconta il dramma dei respingimenti nel canale di Sicilia.
Il 25 giugno un grande evento speciale: i musicisti jazz Leonardo Cesari alla batteria ed elettronica e Daniele Pozzovio al pianoforte per il concerto dal vivo durante la proiezione del visionario Metropolis, capolavoro espressionista di Fritz Lang, che dal 1927 ha ispirato registi e sceneggiatori, citato in film quali “Blade Runner”, “Brazil”, “Guerre stellari” e “Matrix”.
Per info e prenotazioni:
cell. 366 4571726
info@ilkino.it
www.ilkino.it
PROGRAMMA KINO VILLAGE – GIUGNO 2012
Venerdì 15 giugno
21:00 I Primi della Lista ? R.Johnson (Ita, 2011, 85′)
(sarà presente il regista Roan Johnson e l’attore Claudio Santamaria)
Sabato 16 giugno
21:00 The Future – M.July (Usa, 2011. 98′)
Domenica 17 giugno
21:00 Il Mundial Dimenticato ? L.Garzella, F.Macelloni (Ita/Arg, 2012. 93′)
23:00 The Future – M.July (Usa, 2011.98′)
Lunedì 18 giugno
21:00 Exit through the gift shop – Banksy (Usa/Gb, 2010. 87′)
23:00 Exit through the gift shop – Banksy (Usa/Gb, 2010. 87′)
Martedì 19 giugno
21:00 Il Mundial Dimenticato – L.Garzella, F.Macelloni (Doc. Ita/Arg, 2012. 93′)
Mercoledì 20 giugno: Giornata Mondiale del Rifugiato
21:00 Mare Chiuso – A.Segre/S.Liberti (Doc, Ita. 2012. 60′)
(in collaborazione con Amnesty International e OSF. Ingresso a sottoscrizione)
Giovedì 21 giugno
21:00 Napoli24 – AA.VV. (Ita, 2010. 75′)
Venerdì 22 giugno
21:00 13 Tzameti – G. Babluani (Fra,2006.86′)
(film vincitore del Gran Prix al Sundance 2006)
Sabato 23 giugno
21:00 Tomboy – C.Sciamma (Fra,2011. 85′)
Domenica 24 giugno
21:00 About Elly – A.Farhadi (Iran, 2009. 119′)
(vincitore Orso d’Argento ? Berlino 2009)
23:10 13 Tzameti – G. Babluani (Fra,2006. 86′)
Lunedì 25 giugno
21:00 Metropolis ? F.Lang (Ger, 1927. 117′)
(sonorizzato dal vivo da Leonardo Cesari e Daniele Pozzovio)
Martedì 26 giugno
21:00 Io sono Li ? A.Segre (Ita, 2011. 100′)
Mercoledì 27 giugno
21:00 The Future – M.July (Usa, 2011. 98′)
Giovedì 28 giugno
21:00 Exit through the gift shop – Banksy (Usa/Gb, 2010. 87′)
Venerdì 29 giugno
21:00 The Future – M.July (Usa, 2011. 98′)
Sabato 30 giugno
21:00 About Elly – A.Farhadi (Iran, 2009. 119′)
23:10 Io sono Li – A.Segre (Ita, 2011. 100′)
Per info e prenotazioni:
cell. 366 4571726
info@ilkino.it
www.ilkino.it